Dans la Rome Antique, pour les riches notables, le partage était essentiel : les plaisirs de la table constituaient une des formes les plus élaborées de la vie en société et l'art culinaire était directement lié à la vie collective, en cité. D'ailleurs, le mot culina (cuisine)  a la même racine latine que cultus (culture), dont le sens regroupe pour les romains, toutes les pratiques de la civilisation : la sédentarité, l'agriculture, le culte des dieux et l'entretien du corps.

Même si la gourmandise est largement reconnue, elle doit être conviviale. Manger ou boire seul, des nourritures délicieuses ou du vin, constitue une action coupable, honteuse et même provocatrice

Au quotidien, les romains étaient plutôt végétariens et consommaient peu de graisses animales, comme le lard, le beurre ou le saindoux. Leur comportement de sédentaires s'est exprimé à travers la consommation du pain et du vin. Ces deux aliments représentaient l'attachement au sol (il faut produire, stocker, élever,..). D'autre part, le pain ne se mangeait jamais sans figues ou fromage broyé, avec de l'huile, de l'ail, des herbes, des noix ....

Pour eux, l'art culinaire était associé à la philosophie et à la civilisation. Et pour les nobles,  il correspondait à un délassement raffiné : cuisiner, était aussi distingué que de déguster. D'ailleurs, les grands hommes de Rome ne dédaignaient pas attacher leur nom à une nouvelle recette !

Dans cet assortiment de produits, Mireille Chérrubini qui est la créatrice de Taberna Romana a travaillé avec de nombreux scientifiques, afin de nous proposer tout un assortiment de spécialités : Samsa, Cicérona, Phoénix, Apiscus, Salyen et Prunum.

Par ailleurs, elle a joint à ce coffret un petit feuillet de recettes et de conseils, afin de réussir votre « Convivium » !

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